Carmen Calandra est née en Italie et vit en France. Architecte de formation, elle a obtenu le diplôme de traductrice littéraire auprès de la Fondazione Universitaria San Pellegrino (Italie). Sa formation initiale lui a permis de s’orienter rapidement vers des traductions spécialisées, avec une consécration particulière à l’histoire de l’architecture comprise entre le 18e et le 20e siècle. Cela notamment avec la traduction d’articles publiés dans les ouvrages collectifs : Repenser les limites : l’architecture à travers l’espace, le temps et les disciplines (Collections électroniques de l’INHA, 2008, http://inha.revues.org/1176), Tony Garnier, la cité industrielle et l’Europe (CAUE du Rhône, 2009), Édifice et Artifice, histoires constructives (Picard Éditeur, 2010), La morale de l’homme politique (Centre d’histoire du 19e siècle, 2015). D’autres domaines de l’histoire ont fait également l’objet de ses travaux de traduction, notamment l’histoire de l’art et l’histoire de la culture, avec la traduction d’articles publiés dans les ouvrages collectifs : Le public et la politique des arts au siècle des Lumières (William Blake & Co., 2011) et Villes et culture sous l’occupation. Expériences françaises et perspectives comparées (Armand Colin, 2012). Avec la traduction d’un article publié dans l’ouvrage Traduire l’architecture : texte et image, un passage vers la création? (Picard Éditeur, 2015), Carmen Calandra a pu se confronter à la thématique spécifique de la traduction des ouvrages d’architecture. La traduction récente de l’ouvrage de Jean-François Roullin, Vocabulaire critique d’architecture à l’usage des étudiants et de ceux qui aspirent à le devenir, lui a permis de se perfectionner dans l’élaboration d’un lexique spécifique à l’architecture, dans son passage de la langue source à la langue cible. Active dans le milieu de l’édition scientifique, après avoir longtemps travaillé au Service Publications de l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales), elle a, depuis peu, intégré le comité de rédaction de TransLittérature, revue de l’ATLF (Association des Traducteurs Littéraires de France).
Carmen Calandra è nata in Italia e vive in Francia. Architetto di formazione, ha conseguito il titolo di traduttrice letteraria presso la Fondazione Universitaria San Pellegrino. La sua formazione iniziale le ha permesso di orientarsi rapidamente verso la traduzione specialistica, in particolare la storia dell’architettura compresa tra diciottesimo e ventesimo secolo. Le sue traduzioni sono stati pubblicate in opere collettanee come: Repenser les limites : l’architecture à travers l’espace, le temps et les disciplines (Collections électroniques de l’INHA, 2008, http://inha.revues.org/1176), Tony Garnier, la cité industrielle et l’Europe (CAUE du Rhône, 2009), Édifice et Artifice, histoires constructives (Picard Éditeur, 2010), La morale de l’homme politique (Centre d’histoire du 19e siècle, 2015). I suoi lavori di traduzione hanno interessato anche altri ambiti storici, in particolare la storia dell’arte e la storia della cultura, con la traduzione di articoli pubblicati in opere collettanee come: Le public et la politique des arts au siècle des Lumières (William Blake & Co., 2011) e Villes et culture sous l’occupation. Expériences françaises et perspectives comparées (Armand Colin, 2012). Con la traduzione di un articolo pubblicato nell’opera Traduire l’architecture : texte et image, un passage vers la création? (Picard Éditeur, 2015), Carmen Calandra si è potuta confrontare alla tematica specifica della traduzione dei testi d’architettura. La traduzione del libro di Jean-François Roullin Vocabulaire critique d’architecture à l’usage des étudiants et de ceux qui aspirent à le devenir, le ha recentemente permesso di perfezionarsi nell’elaborazione di un lessico proprio all’architettura, nel suo passaggio dalla lingua di partenza alla lingua di arrivo. Attiva nell’ambito editoriale scientifico, dopo aver a lungo lavorato per la casa editrice dell’EHESS (École des hautes études en sciences sociales), Carmen Calandra è entrata da poco a far parte della redazione di TransLittérature, rivista dell’ATLF (Association des Traducteurs Littéraires de France).
Carmen Calandra was born in Italy and currently lives in France. After architectural studies, she graduated as a literary translator from the Fondazione Universitaria San Pellegrino (Italy). Her initial training allowed her to move rapidly towards specialized translations, with a special interest in history of architecture between the 18th and the 20th century. This especially with the translation of articles published in the collective works: Repenser les limites : l’architecture à travers l’espace, le temps et les disciplines (Collections électroniques de l’INHA, 2008, http://inha.revues.org/1176), Tony Garnier, la cité industrielle et l’Europe (CAUE du Rhône, 2009), Édifice et Artifice, histoires constructives (Picard Éditeur, 2010), La morale de l’homme politique (Centre d’histoire du 19e siècle, 2015). Other areas of history have also been the subject of her translation work, notably art history and cultural history, with the translation of articles published in collective works: Le public et la politique des arts au siècle des Lumières (William Blake & Co., 2011) and Villes et culture sous l’occupation. Expériences françaises et perspectives comparées (Armand Colin, 2012). With the translation of an article published in the book Traduire l’architecture : texte et image, un passage vers la création? (Picard Éditeur, 2015), Carmen Calandra was able to confront the specific theme of the translation of architectural works. The recent translation of the book by Jean-François Roullin Vocabulaire critique d’architecture à l’usage des étudiants et de ceux qui aspirent à le devenir, allowed her, meanwhile, to improve in the elaboration of a lexicon specific to architecture, in its passage from the source language to the target language. Active in the field of scientific publishing, after having worked for a long time at the Publications Service of EHESS (École des hautes études en sciences sociales), she has recently joined the Editorial Board of TransLittérature, the review of the ATLF (Association des Traducteurs Littéraires de France).